INTRODUCTION :

On se cantonnera ici au domaine de la maison individuelle.

Faire construire reste un engagement lourd, que ce soit au plan familiale, financier, patrimonial, technique et pour généralement une durée de vie d’habitat importante. On n’achète pas une maison comme un paquet de nouilles. Cela reste un prototype à adapter à son environnement.

Le terrain reste un maillon de l’affaire également de poids : localisation dans l’environnement, dans le quotidien (proximité des infrastructures, commerces, écoles, distances,  transports, …). Il l’est aussi pour l’intégration de l’ouvrage dans lequel on désire vivre (paysage, vues, pentes, adductions diverses, assainissement, espace disponible, voisinage, nuisances, risques naturels, cours d’eau proches, mer, …), ainsi que ses servitudes éventuelles.

Le terrain, c’est également les sols : leur nature (géologie), leurs caractéristiques diverses (nature, résistances, hydrologie, pollutions …). Des choses dont on ne se préoccupe pas toujours, s’en remettant souvent aux « professionnels » de la construction. Or, bien souvent, les terrassiers, les maçons, les constructeurs ne sont pas des spécialistes du sujet et parfois découvrent les problèmes une fois les travaux de fondations entamés (et les contrats signés) !

Cela peut couter cher à postériori, financièrement, juridiquement, temporellement et/ou en soucis autres !  Les sols ont un cadre technique, mais aussi juridique et sont partie intégrante de votre projet de construction pour longtemps.

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